Avec cette nouvelle entité, le courtier autrichien et le fonds de capital-risque franco-britannique entendent financer les très jeunes start-up du Web3.
Confrontées en 2023 à une chute des levées de fonds de près de 40% en France comme dans le reste du monde, selon le cabinet EY, les start-up rêvent d’une année 2024 plus fructueuse, d’autant plus dans le Web3, secteur quelque peu laissé de côté au profit de l’intelligence artificielle.
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